– Et ainsi, dit Elizabeth avec un peu d’impatience, se termina cette grande passion. Ce n’est pas la seule dont on ait triomphé de cette façon, et je me demande qui, le premier, a eu l’idée de se servir de la poésie pour se guérir de l’amour.
– J’avais toujours été habitué, dit Darcy, à considérer la poésie comme l’aliment de l’amour.
– Oh ! d’un amour vrai, sain et vigoureux, peut-être ! Tout fortifie ce qui est déjà fort. Mais lorsqu’il s’agit d’une pauvre petite inclination, je suis sûre qu’un bon sonnet peut en avoir facilement raison.